Elena Rossi, Martina Giacca, Volha Marosava, Anna Copertino et Francesca Pinzari ont signé le Manifeste de Kimiyya sur les droits des femmes. Accueillies par les SG Michele Capasso et Pia Molinari, elles ont exprimé leur satisfaction pour cette action des États-Unis du Monde, indispensable pour les droits des femmes.
À l'issue du G7 à Savelletri, le Secrétaire Général Michele Capasso a visité le sanctuaire de Jaddico, dédié à « Marie Mère de l'Église ». Avec les prêtres, il a retracé les étapes du lieu sacré. Près de soixante ans après sa construction, le sanctuaire acquiert aujourd'hui une nouvelle valeur, un sens renouvelé de la foi. Construit en 1965 par Teodoro D'Amici, policier de la ville de Brindisi, le sanctuaire a toujours été un lieu de manifestations extraordinaires de la Vierge Marie, en particulier autour d'un ancien mur croisé avec une image de la Madone, qui a ensuite été béni. L'archevêque de l'époque, Monseigneur Nicola Margiotta, qui se trouvait à Rome pour la clôture du concile œcuménique Vatican II, a délégué le vicaire général Monseigneur Armando Franco pour présider le rite, auquel a assisté une foule immense. Il s'agit de la première église au monde dédiée à « Marie Mère de l'Église ». Au cours des dernières décennies, le sanctuaire de Jaddico est devenu de plus en plus un lieu de paix et de ressourcement spirituel pour les nombreuses personnes qui s'y arrêtent chaque jour pour prier - car il est ouvert jour et nuit - et qui viennent du monde entier.
Elle a certainement changé l'histoire du G7, la présence du pape François à Fasano di Puglia, mais peut-être aussi celle du pontificat : le premier pape non-européen dans l'assemblée des soi-disant Grands du monde occidental. Et au moment de la plus grande crise, avec deux guerres - parmi tant d'autres - d'envergure mondiale en cours, toutes deux au centre d'une incessante prédication de la paix accompagnée de l'action diplomatique la plus intense mise en œuvre par le Saint-Siège ces derniers temps. C'est mon anniversaire", a déclaré le Secrétaire Général des États-Unis du Monde, Michele Capasso, présent dans les Pouilles, "tout comme le chancelier Sholtz et le drapeau américain (né en 1777) le célèbrent aujourd'hui: la présence du pape François est le plus beau des cadeaux". Aucune chaise n'a été préparée pour le pape François au G7, mais seulement une chaise à la table de travail commune, et sur un sujet assigné, l'intelligence artificielle, qui est importante et peut-être décisive pour l'avenir, mais encore de nature limitée. Ce n'était donc pas une condition habituelle, mais François est allé plus loin, au point de transformer l'événement en un tournant symbolique : le pape n'est assis sur aucune estrade, mais côte à côte avec les "puissants", prêts à leur rendre l'hommage qui leur est dû, jusqu'à faire la queue pour une audience qui ne dure que quelques minutes. Une manière de faire qui ne va pas de soi pour les gouvernants d'une époque qui, bien que profondément marquée par la sécularisation, continue d'exprimer le besoin de confrontation, sinon d'orientation, sur les questions essentielles non seulement de la politique mais de la vie tout entière.
Le sommet du G7 s'est tenu dans la ville de Fasano dans les Pouilles du 13 au 15 juin 2024. Y ont participé les chefs d'État et de gouvernement des sept États membres, ainsi que le président du Conseil européen et le président de la Commission européenne représentant l'Union européenne. Comme le veut la tradition, des représentants de plusieurs États et organisations internationales, invités par le pays qui exerce la présidence, ont également participé aux travaux. Le Président de la Fondazione Mediterraneo et Secrétaire Général des États-Unis du Monde, le Professeur Michele Capasso, a participé en tant qu'observateur, comme c'est le cas depuis le début des Sommets, en produisant une "Chronique du G/" publiée dans différents pays. Pour la première fois, ce Sommet du G/ a vu la participation d'un Pontife: le Pape François.