Les célébrations à l'occasion du 109e anniversaire de la naissance de Gustavo Rol, inspirateur des "États-Unis du monde", ont eu lieu au siège de Naples.

Les "États-Unis du monde", avec leur réseau d'organisations institutionnelles et de la société civile, ont célébré la "Journée mondiale des réfugiés" en partageant la mission du HCR (Agence des Nations unies pour les réfugiés).
Des événements ont eu lieu à Naples, Tanger, Sao Paulo et Montréal.
Le Secrétaire général Michele Capasso a souligné "l'importance de cette journée dans une période complexe de l'histoire humaine, caractérisée par des guerres dans diverses parties du monde et, en particulier, en Ukraine, à l'origine de millions de réfugiés qui doivent être accueillis avec amour et attention".

Les "États-Unis du Monde" ont célébré la "Journée mondiale de lutte contre la désertification et la sécheresse" demandée par les Nations unies dans une résolution de 1995.
Cette année, le thème de la Journée mondiale était axé sur la sécheresse : "Se relever ensemble de la sécheresse".
Le président Michele Capasso a souligné la gravité du problème et le processus de tropicalisation en cours également en Europe et, en particulier, en Italie.
Seules des politiques environnementales à long terme permettront d'endiguer et de gouverner un phénomène aux perspectives catastrophiques.
Selon les estimations du Global Land Outlook, 70 % des zones libres de glace ont été altérées par l'homme, avec des conséquences directes et indirectes sur environ 3,2 milliards de personnes, et on s'attend à ce que cette part atteigne 90 % d'ici 2050. Et actuellement, environ 500 millions de personnes vivent dans des zones où la dégradation a atteint son niveau le plus élevé, c'est-à-dire la perte totale de productivité définie comme la désertification. L'Afrique, en particulier la zone située au sud du Sahara, est la plus touchée par ce phénomène : 73 % des terres arables sèches sont déjà dégradées ou complètement désertifiées ; l'Asie, le Moyen-Orient et l'Amérique du Sud présentent également un risque élevé de dégradation des sols. Même les pays très développés, comme les États-Unis ou l'Australie, ont des zones présentant un risque élevé de désertification, comme dans les États du centre et de l'ouest des États-Unis.
Dans l'Union européenne, les pays les plus touchés et qui se sont déclarés touchés par les phénomènes de désertification et les effets de la sécheresse sont sans aucun doute ceux du bassin méditerranéen : outre l'Italie, l'Espagne, le Portugal, la Grèce, la Croatie, Chypre et Malte, mais la Hongrie, la Slovénie et la Roumanie ne sont pas à l'abri de phénomènes similaires. L'Italie présente elle aussi des signes évidents de dégradation, qui se manifeste avec des caractéristiques différentes dans environ 28% du territoire, principalement dans les régions du sud, où les conditions météorologiques contribuent fortement à l'augmentation de la dégradation et donc à la vulnérabilité à la désertification en raison de la perte la qualité des habitats, l'érosion des sols, la fragmentation du territoire, la densité des revêtements artificiels, avec une détérioration importante également dans les régions du nord, comme en Vénétie, Piémont, Émilie-Romagne.

Dans le cadre du programme "Les Etats-Unis du monde pour les jeunes", un groupe d'élèves et d'enseignants de l'Institut Alpi-Levi de Naples (Scampìa) a visité le siège des "États-Unis du Monde".
Accueillis par le Secrétaire Général Michele Capasso, ils ont retracé l'histoire de 33 ans d'engagement pour la paix, le développement partagé et la justice sociale.
Appréciation des jeunes étudiants pour les "États-Unis du Monde".